Anecdote 3 : Robe de mariée (suite et fin) ROBE DE MARIÉE SUITE.
Le 25 novembre, je descend avec ma mère tout un après midi sur Lyon pour tenter de trouver enfin la robe qui me plairait. (j'avais déjà fait 2 essayage chez Pronuptia vers chez mes parents mais très peu convaincue). Je commence par une boutique très charmante, et moi quand j'aime, je donne l'adresse mail:
www.boutique-martine.com/glamour.htm.
J'essaye 2 robes sympas mais je décide quand même d'aller regarder plus loin d'autres boutiques, au cas où (je ne suis pas une femme pour rien!). Je découvre d'autre boutiques que je vais vous citer, car quand je n'aime pas, je le dis aussi ;) : L'Empire du Mariage: Une horreur, déjà la patronne râle que les gens viennent sansrendez vous, la boutique est rempli à craquer, une véritable usine. J'explique à quelq'un que je cherche donc une robe, on me montre un coin avec une dizaine de catalogues à consulter. Pas possibiliter de s'assoir, le si peu de siège est déjà pris. Le magasin regorge de futures mariées vulgaires beuglant à droite et à gauche, genre "et celle là, elle est bien, nan?!!" Après avoir sélectionner 10 robes, je ne peux en voir que 2, les autres faut commander direct! Mais on me prévient, les 2 dernières sélectionnées ne seront pas de la même couleur que sur le catalogue. En effet, on m'apporte des robes bordeaux alors que je veux du ivoire! On me fait essayer ma tenue dans la cabine qui est déjà investit par les vêtements d'une autre jeune femme. La vendeuse me dit que le temps qu'elle se regarde dans le miroir, je pourrais me changer. Normalement, on prête des chaussures blanches pour aller avec la robe, là, j'étais pieds nus, des aiguilles partout sur le sol. La robe est trop grande (du 42 pour un 38!) mais c normal et normalement, les vendeuses mettent des épingles pour réajuster et pour qu'on se fasse une idée de la coupe. Peine perdue, ma vendeuse à moi se contente de tenir le tissu en trop et me suis donc en tenant dans le dos un bout de la robe jusque vers le miroir. La robe est de mauvaise qualité. Nous partons sans regrets.
Nous parcourons les autres boutiques qui font partie de la même structure. Même genre, même qualité douteuse. C'est décidé, on revient à la première boutique charmante.
Message déposé le 02.12.2006 à 13:16 - Commentaires (0)
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