Nous sommes très tristes et peiner par la disparition de tata Claudine.
Nous vous garderons dans notre coeur.
Moi je ne vous connaissez pas depuis longtemps, mais je garderais dans ma mémoire le courage admirable d'une femme remarquable face à de terribles épreuves.
Que les anges du paradis veillent bien sur vous.
La grande erreur, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent ; ils ne nous quittent pas, ils restent... nous ne les voyons pas, parce qu'un nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient. Ils tiennent leurs yeux pleins de gloire arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. Ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent, c'est l'intuition claire, pénétrante, que par la mort, ils ne sont ni éloignés, ni même absents, mais vivants, près de nous, heureux, transfigurés et n'ayant perdu dans ce changement glorieux ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur coeur, ni une préférence de leur amour.