… ils dansent, ils dansent, langoureusement, jusque tard dans la nuit …

… ils dansent, ils dansent, tendrement, les mariés …

… ils dansent, ils dansent, les époux : Didier et Thérèse, Alaa et Jannick (qui fêtaient aussi leur anniversaire de mariage) …

… ils dansent, ils dansent, le neveu et la tante : Ludovic et Claire-Lise …

… ils dansent, ils dansent tous sous le regard des cousins Florent et Matthieu, arrêtés pour une pause …

… ils dansent, ils dansent, les mariés …

… ils dansent, ils dansent, les époux : (Agnès) et Serge, Horst et Erna …

… ils dansent, ils dansent, les époux : Thérèse et Jean …

… ils dansent, ils dansent, grand-mère et petit-fils, Jeanne-Marie et Sébastien …

… ils dansent , ils dansent , les mariés …

… ils dansent , ils dansent , les époux : Babeth et Marc …

… ils dansent , ils dansent, les cousins : Adrien et Stéphanie …

… ils dansent , ils dansent : Valérie et son neveu Sébastien …

… certains cherchent leur pas, comme Christine et Jean-Michel, d’autres papotent en dansant, comme Nelly et Isaline

… toutes générations réunies …

… avant d’être rejoints par une joyeuse assemblée …

… et amour à l’infini …

… alternant romantisme …

… et « Le Beau Danube Bleu » entraîne les mariés dans ses ondes …

M’accorderez-vous cette valse ? …

… pour une surprise, c'est une surprise, Clara, n’est-ce pas ?

… bon anniversaire, Clara ! (voyez comme Alain et Sylvie, ses parents, soufflent consciencieusement derrière elle….)

… il était 00h01, nous étions passé au 6 août et Clara venait d’avoir un an de plus …

Devant le rire de Sylvie, sa mère, la surprise de Clara …

… le même bonheur, dans le même geste !

… à la vôtre !

… et voilà de quoi se réjouir, à la santé de tous …

… fine mouche ou … mouche du coche ? la mariée soutient en tous cas son époux à la tâche …

Bravant les derniers feux de Bengale, les mariés se lancent dans la découpe du gâteau…

… bientôt transformé en fontaine lumineuse.

… lorsqu’au son des trompettes triomphales, le gâteau arrive …

Annonce de l’évènement, les mariés sont appelés à l’entrée de la salle …

« Le Po », table des plus jeunes, n’a laissé aucune trace sur nos appareils.
Mais, eux aussi, vous les avez vu sur le pont supérieur il y a quelques messages : Emeline, Antoine, Hélène , Alexandre, Amélie, Eugénie, Gilda et Joseph ….

… Florian, jeune frère du précédent …
… quant au reste de la tablée, Corentin, petit neveu du marié (fils de Agnès et Serge), Agathe, fille de Nathalie, amie de la mariée, Antony, petit-fils de Yvonne, Florent, neveu du marié, Geoffroy et Sophie, fils et fille de Anne-Marie et Régis , vous les avez déjà vus sur le pont supérieur : retrouvez-les !

Table jeune également, « L’Ob » a été si dynamique que nous n’avons de photo que deux convives, particulièrement resplendissants : ici, Matthieu, petit neveu du marié (fils de Florence et Jean-Philippe) …

… Clara, fille de Sylvie et Alain, amis de la mariée, Stéphanie, fille de Christine et Jean-Michel (frère de Anne-Marie, épouse de Régis, neveu du marié) …
… (étaient aussi à cette table : Louis, frère de Clara, Caroline et Nicolas, sœur et frère de Stéphanie , sans en promenade sur le pont supérieur au moment des photos ; si quelqu’un a une photo complète de cette table … nous sommes preneurs !).

… Table de jeunes , « le Mississipi » réunissait Ludovic, petit cousin de la mariée (fils de Marie-Noëlle et Jean-Michel), Clément, petit cousin des mariés (fils de Danie et Michel) …

… dans les bras de Sabine, sa fille Tiphaine, et, à leurs côtés, leur époux et père Christian, neveu du marié (fils de Jean et Denise).

… Agnès, sœur des deux précédentes et son époux Serge …

… Valérie, sœur de Florence et nièce du marié aux côtés de son époux Gilles …

Charmants bateliers de la Volga ici réunis : Florence, nièce du marié (fille de Michel et de Jeanne-Marie) et son époux Jean-Philippe …

… et, à côté de Josiane, Jean écoute sagement une des meilleures histoires de son épouse Thérèse, cousine du marié.

… Valdo, cousin de la mariée (fils de Lucie et René) qui a cédé pour un instant son appareil photo de reporter officiel et son épouse Josiane …

… Yves, neveu du marié et petit cousin de la mariée (fils de Jean et Denise) et son épouse Edmée …

Variation sur le thème du cousinage à la table « Le Zambèze » : Michel et son épouse Danie, cousine des deux mariés (fille de Paulette et René) …

… et fait sourire Alain, époux de Sylvie, Aline, petite cousine du marié (fille de Thérèse et Jean) et sa cousine Béatrice (fille de Jean-Louis).

… tandis qu’une conversation rend perplexes Marie-Claude et son époux Jacques, amis de la mariée (parents de sa grande amie Catherine et complices également de « Rimes et Accords »), Sylvie , amie de la mariée et de « Rimes et Accords » en son temps, …

Sourire radieux de Catherine (fille de Jean-Louis et petite cousine du marié) et de Jérôme son fiancé qui annonce leur proche mariage (le 30 septembre à Nîmes) …

… et, à côté de Michel et Jeanne-Marie, Bernard, le troisième frère du marié (et toujours Odile derrière eux …).

… Nicole, épouse de Roger, Michel, frère cadet et son épouse Jeanne-Marie (derrière eux, leur nièce Odile, fille de Jean et Denise) …

Table très familiale où se retrouvaient les trois frères du marié : Jean, le frère aîné et son épouse Denise, Roger, beau-père de Florence, leur nièce (fille de Michel et Jeanne-Marie) …

… et aux côtés de Marc, fils de Paulette et René, son épouse Babeth, tous deux prêts à laisser éclater leur rire.

… Béatrice, épouse de Jacques, Jean-Michel, beau-frère de Régis, neveu du marié, et son épouse Christine, Marc, cousin des mariés …

Joyeuse tablée au « Brahmapoutre » avec des cousins du marié : (de droite à gauche) Jean-Louis, sa sœur Françoise et leur cousin Jacques …

Table de jeunes parents, la table « L’Orénoque » réunissait :
Anne-Sophie et Matthieu, petit cousin des mariés et fils de Danie et Michel,
Elodie, petite cousine de la mariée et fille de Josiane et Valdo et son époux Erik,
Yves, neveu du marié, petit cousin de la mariée et fils de Denise et Jean.
… manque Odile, sœur de Yves, que nous retrouverons à la table « Le Colorado » !

… ce qui amuse bien Karine, fille de Yvonne et Isaline, fille de Marie-Noëlle et Jean-Michel, donc petite cousine de la mariée (vous aviez trouvé, bien sûr ?) …
… en revanche les deux hommes de la table et néanmoins cousins complices Alexandre et Etienne sont sortis prendre l’air, de même que Tiphaine, sœur de Denis, le témoin de la mariée.
Si l’un d’entre vous a une photo de la table complète, nous sommes preneurs …

Mention spéciale pour la table « Amazone » qui accueillait Michèle, Liliane et Sylviane,trois anciennes collègues du service de com’ dont la mariée avait été responsable dans les années 1980 : un lien si puissant que cette « Fine Equipe » se retrouve toujours avec plaisir 20 ans après …

… Chantal, choriste du Chœur de l’Oratoire, conseillère municipale en Normandie et très grande amie de la mariée, au point d’avoir tenu à assister à la cérémonie et à la soirée au lendemain d’un grave accident … et, pour boucler la boucle, Didier et Thérèse.

… Théodore et son épouse Françoise, enseignante, Lionel, époux de (Chantal, amie de la mariée) et passionné par la gestion municipale …

… Annie, épouse de Gabriel et donc amie de la mariée et Théodore, fils aîné de Albert (parrain des mariés), donc cousin de la mariée et néanmoins spécialiste de l’aménagement urbain…

Les mariés pensaient avoir composé cette table autour de l’intérêt de ses invités pour la ville et l’urbanisme mais, de l’aveu des convives sur un « petit papier », c’est la Haute-Normandie qui fut leur point commun : comme quoi …
Ici Didier, collègue de la mariée et son épouse Thérèse conversant avec Gabriel, ami de la mariée et ancien voisin d’immeuble …

… de même que Anne-Marie, cousine du marié et choriste elle aussi, tandis que sa voisine Nathalie, sœur de Catherine, songe sans doute à quelque douce mélodie.

… autres anciens choristes du Chœur de l’Oratoire : Laure et son époux, Philippe (également pianiste), amis de la mariée et complices de l’association « Rimes et Accords, Connaissance de la Musique d’inspiration Protestante », tout comme Catherine, très grande amie de la mariée, compagnie qui semble satisfaire Vincent …

Table, tablature, tessiture, tous les convives de la table « Le Tibre » avaient un lien avec la musique : Vincent, le hautboïste de la cérémonie religieuse et sa compagne Denise, ancienne choriste du Chœur de l’Oratoire, tout comme Isabelle, également amie de la mariée.

… et avec Jean-Michel, cousin de la mariée et son épouse Marie-Noëlle, de retour d’un beau voyage au … Japon.

… avec Alain, ami de la mariée, Claire-Lise, cousine de la mariée …

Gérard, sacristain de l’Oratoire et néanmoins grand ami de la mariée et son épouse vietnamienne étaient à leur place à la table « Le Mékong » …

… Patricia et son époux Laurent, amis de la mariée et parents de Denis, filleul et témoin de la mariée, Fanchon et son époux Jean-Noël, cousin du marié.

A la table « Le Rhin », bien sûr Erna (à droite) et Horst (absent sur le photo), amis de la mariée venus tout exprès de Heidelberg , Cédric et son épouse Hélène, petite cousine du marié…

… de Mariel, cousine du marié et de Francis son époux, grands connaisseurs de l’Egypte pour avoir travaillé au Moyen-Orient.

… de Jannick et de son époux Alaa, amis franco-égyptiens de la mariée, également mariés un 5 août, et de Laurence, ancienne collègue de la mariée …

… en compagnie de Issam, ami syrien de la mariée et de son épouse Marie …

La table « Le Nil » a été présidée par le sourire de Manar, attachée culturelle de l’ambassade d’Egypte…

… Denis et Charlotte : à quand votre tour ?

… Anne-Marie, Sébastien, Nelly …

A la table « Le Danube », étaient réunis les témoins et la responsable du service d’honneur.
Ici : Adrien, Maïté, Régis et Anne-Marie ...

Albert, Yvonne, Maurice, Paulette

René, Paulette et Pierre

Chaque table, vous en souvient-il , avait le nom d’un fleuve qui, parfois avait un lien avec ses convives.
La table d’honneur, bien évidemment, se nommait « La Seine » : on y retrouvait les mariés, Albert, leur parrain et Yvonne son épouse, Paulette et René leur tante et oncle, Paulette et Maurice, leurs grands complices.
Mais bien sûr il était difficile de les voir tous en même temps , ici leur tante Paulette et Yvonne les accompagnent … si vous avez une photo de la table complète, nous sommes preneurs !

Remerciements aux invités, à la « Belle Equipe » qui les a aidés à organiser le mariage, à leur parrain Albert, pasteur, aux musiciens, hommage à feus leurs parents, aux pays représentés par les invités : Allemagne, Egypte, rappel de leur conte de fées (voir notre blog « Nicole et Pierre », notre histoire) et incitation à partager avec tous leur bonheur, telles furent les grandes lignes du discours en duo des mariés.

… et les applaudissements de Liliane, Jacques, Béatrice, Karine, Edmée, Antony, (Maïté), Marie, Florian, Matthieu …

… et les applaudissements de Clément, Françoise, Matthieu, Gérard, Alain, Jean, Isaline, Emeline…

… la mariée, toute à ses souvenirs d’Egypte, esquisse quelques mouvements de danse orientale, encouragée par les applaudissements de Denise, Patricia, Didier, Laurence, Denis (Michel, René, Manar), Anne-Marie, Claire-Lise, Marie-Noëlle…

… Christine, Jean-Michel, (…), Yves, Babette, Marc, Jacques, Adrien, Béatrice, Karine, (Matthieu), Corentin, Antony, Florian, (Sophie), Caroline, Marie-Claude, Catherine, Agathe, Vincent, Denise, Patricia, Didier, Claire-Lise, Roger, Nicole, Denis, (Albert) …

… en essayant de n’oublier personne : Fanchon, Marie-Noëlle, Horst, Stéphanie, Alaa, Françoise, Thuy Mo, Gérard, Thérèse, Jean, Michel, (Danie), Alain, Clément, Josiane, Nelly, Matthieu, Isaline, Ludovic …

Surprise pour les mariés : les invités se regroupent pour une haie d’honneur, photographe en tête…

… tandis que le marié vous adresse son célèbre sourire (celui qui a, de tous temps fait flancher le cœur de sa cousine Nicole, désormais son épouse) en compagnie de son cousin Marc et de Michel, l’époux de Danie, sœur de Marc (et photographe de l’instant)…

… et la mariée répond joyeusement aux passants qui, des ponts, saluent la noce …

… mais la croisière commence …

… à sa tante Paulette (et néanmoins aussi la tante du marié) qui en est toute réjouie …

… bien sûr, la mariée est toute fière de montrer son alliance …

… les conversations commencent (en présence de Karine et son neveu Antony, de René et plus loin de Denise, Jean-Louis et Thérèse, sous l’œil réjoui de Philippe) …

… petit réajustement, jusqu’ici discret…

… quelques marches, et ils rejoignent leurs invités sur le pont supérieur …

… quitte à jouer avec le soleil couchant …

… et se prêtent aux photos, en véritables vedettes…

… acclamés par les invités déjà installés sur le pont supérieur, les mariés arrivent…

… les tables élégantes et les roses dragées pour le souvenir de chacun…

Les lustres de cristal à l’ambiance tamisée…

A l’entrée, deux des magnifiques compositions offertes par Sapin Vert et Alain roses tendres et épis de blé : que de symboles …

Tous en place : capitaine, commissaire de bord, vidéaste, serveurs ……

Ah, mon beau bateau…

… souvenez-vous : la rue Saint-Honoré était bloquée par les photographes et les passants criaient « Vive la mariée », aussi nous leur avons joyeusement répondu…

… les voilà, presque tous !

… encore plus …

… le cercle s’agrandit …
La liste devient trop longue : cliquez sur la photo pour l’agrandir et vous reconnaître les uns les autres.
Si vous cherchez un nom, posez-nous la question en commentaire ci-dessous : nous vous donnerons la solution …

… avec les quatre témoins et René et Paulette, en place des parents des mariés...

La série des pauses commence avec – à tout seigneur tout honneur – Albert, le pasteur et le parrain des deux mariés, et Yvonne, sa femme

Toute cette sympathie réjouit les mariés…

… ou (Christian et Sabine, neveux du marié) Jean-Louis, cousin du marié, Paulette, épouse de Maurice, et Danie, cousine des deux mariés (et Thérèse, sœur de Jean-Louis) …

… comme Matthieu et Anne-Sophie

… ou attend patiemment …

Le « parterre » des amis et de la famille joue les paparazzi …

… en toute complicité avec la joie des invités …

… mais, oui ? …

... ? ...

… pour se faire acclamer par leurs invités…

Enfin, les mariés sortent de l’Oratoire, de nouveau accompagnés par le « Carillon » de Marie-Louise…

Mireille, grande amie de la famille en compagnie de René, Paulette et Danie

Au complet, une famille qui a joué un grand, ou plutôt de grands rôles dans l’organisation du mariage :
Régis, neveu et témoin du marié, « chauffeur » de la voiture des mariés,
Anne-Marie, son épouse, responsable de la merveilleuse décoration (à base d’orchidées) de la plage arrière de la voiture des mariés,
Geoffroy, de service de corbeille à l’offrande,
Sophie, chargée du voile de la mariée et du service de corbeille à l’offrande,
Sébastien, garçon d’honneur du marié.
Mille mercis à vous tous aussi….

Autour d’Estelle : Maïté, fille de Alain et responsable de l’organisation du service de corbeilles à l’offrande et Nelly, témoin de la mariée (entre autres…).
De grands mercis à vous deux …

Claire-Lise et ses belle-sœurs (suite) : ici avec Marie-Noëlle, femme de Jean-Michel (voir plus bas avec Théodore), Isaline, fille de Marie-Noëlle et Nelly, fille de Josiane et filleule de la mariée.

Cousines et petites-cousines de la mariée : Claire-Lise et sa belle-sœur Josiane, Elodie et Nelly, filles de Josiane avec Estelle, fille de Elodie et Erik

Cousin-cousines, du côté de Pierre : Thérèse, Françoise (mère de Etienne)et Anne-Marie, les trois sœurs ; Jeanne-Marie et son époux, Michel, frère du marié ; Mariel, cousine des trois sœurs, de Michel et du marié.

Encore deux cousins complices (et petits-cousins du marié) : Etienne et Alex ; ce sont eux qui se sont dévoués à faire tirer les quelques 500 photos réalisées par Valdo pour les ramener sur le River Palace à la suite d’une véritable épopée : mille mercis à vous deux !

En attendant la fin des félicitations, les invités se retrouvent dans la nef de l’Oratoire : Jean-Michel, cousin maternel de la mariée et frère de Claire-Lise, Théodore, également cousin maternel de la mariée et fils de Albert, Françoise, épouse de Théodore.
Gérard, sacristain et grand ami de la mariée veille à tout pendant ce temps (voire : se demande combien de temps le défilé des félicitations va durer …)

Le pasteur s’est « dérobé » et rejoint en civil sa femme, Yvonne et ses filleul(e)s, les deux « jeunes mariés » …

Romain (devinez bien, dans le landau…) offre les sourires de ses premiers mois, entre ses parents, Philippe et Véronique, nièce et filleule du marié.
Un couple, ô combien symbolique pour Nicole et Pierre puisque c’est à l’occasion de leur mariage à Toulouse, il y a un an, qu’ils se sont retrouvés …
Mille mercis Véronique et Philippe !

Mais… elles continuent à papoter !...
(… non, Yvonne n’écoute pas aux portes et n’ausculte pas le dos de Claire-Lise : elle cherche de loin son mari, le Grand Sage Albert… !)

Claire-Lise, ou : la joie quand se retrouvent les deux cousines germaines que l’on surnommait dans leur enfance « les deux péronnelles », tant elles étaient inséparables et intarissables en se racontant entre elles leurs aventures…

Mère, fille et petite fille : Josiane, Elodie et Estelle dans les bras de Erik, son papa…

… et toujours prêts à laisser éclater librement leur joie…

Bien installés dans la Grande Sacristie, Pierre et Nicole sont prêts à recevoir les félicitations de leurs invités…

… sous le regard de Marc, Anne-Sophie, Michel, Alain et Danie...

… Paulette et René les suivent, enfin réunis…

Du haut de sa tribune, Marie-Louise entame, pour le plus grand bonheur des mariés, son magnifique « Carillon » reprenant le thème du cantique « A Toi la gloire… » alors que les mariés se dirigent vers la Grande Sacristie où ils recevront les félicitations de leurs invités…

Ils chantent, ils chantent :
Marie-Claude et Françoise, amies choristes de la mariée, Jean-Michel, son cousin maternel et Marie-Noëlle sa femme, Isaline, leur fille.

Pour finir, l’assemblée a été invitée à chanter le « 150 », le cantique « A toi la gloire, ô Ressuscité », surnommé « la Marseillaise » des Protestants car ce chant est très souvent chanté dans les temples et, la plupart du temps, par cœur.

Au premier rang :Jacques, sa fille Catherine, très grande amie de la mariée et ancienne complice de l’association « Rimes et Accords » qu’elles ont dirigée durant dix ans, et sa soeur Nathalie.

Au second rang : Karine, fille de Yvonne, et son neveu Anthony.

L’assemblée s’en réjouit : Elodie et sa mère, Josiane, cousine de la mariée, Danièle amie de la mariée et complice de voyage en Egypte…

… quant à Issam, ami syrien de la mariée et grand fan du Centre Culturel d’Egypte, son air dubitatif ne cesse de faire vagabonder la célèbre imagination de la mariée : il rêve ? il a des préoccupations professionnelles ? il trouve que les participants ne sont pas en bonne santé ? il …. ???

Issam, quand tu liras ce message, donne lui la solution …

Ils ont signé …

… Albert Trubert, le pasteur et néanmoins parrain des mariés …
… et néanmoins, « Le Grand Sage » de notre conte (voir le 1er blog « Nicole et Pierre »).

… Adrien, témoin du marié …

… Régis, témoin du marié …

… Denis, témoin de la mariée …

… puis Nelly, témoin de la mariée …

… le marié la suit de près …

La mariée a l’honneur de commencer la série

(sous le reard vigilant du nouveau "chef de famille")

…

… tandis que certaine Marie-Noëlle, ose trahir la consigne en prenant une photo (heureusement sans se lever !) sous le regard de son époux Jean-Michel (cousin de la mariée) et devant leur fille Isaline…
Tu as été repérée, Marie-No !

Par la même occasion, les mariés remercie l’ensemble de l’assistance d’avoir accepté la règle du jeu en ne prenant pas de photos pendant la cérémonie, de sorte que cet exceptionnel moment de partage a pu se réaliser dans une totale sérénité.

Merci à tous !

Pendant le moment de l’offrande, sourire de connivence aux amies …

Le recueillement du marié

Prière de Saint-François d’Assise lue par Régis :

Seigneur,
Faites de moi un instrument de votre paix.

Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.

Faites que je ne cherche pas tant à être consolé que de consoler,
D'être compris que de comprendre.
D'être aimé que d'aimer.

Parce que
C'est en donnant que l'on reçoit,
C'est en s'oubliant soi-même qu'on se retrouve
C'est en pardonnant qu'on obtient le pardon.
C'est en mourant que l'on ressuscite à l'éternelle vie.

Prière Jean XXIII lue par Adrien :

Rien qu’aujourd’hui, j’essaierai de vivre
exclusivement la journée sans tenter de résoudre
le problème de toute ma vie.

Rien qu’aujourd’hui, (…) je ne critiquerai
personne. Et ne prétendrai redresser
ou discipliner personne, si ce n’est moi.

Rien qu’aujourd’hui, je serai heureux
dans la certitude d’avoir été créé
pour le bonheur, non seulement dans
l’autre monde, mais aussi dans celui-ci.

Rien qu’aujourd’hui, je m’adapterai
aux circonstances, sans prétendre que
celles-ci se plient à tous mes désirs.

Rien qu’aujourd’hui, je consacrerai
dix minutes à la lecture de la parole (la Bible) (…)
nécessaire à la vie de l’âme.

Rien qu’aujourd’hui, je ferai une bonne action
et n’en parlerai à personne.

Rien qu’aujourd’hui, j’établirai un programme
détaillé de ma journée, (…) et je me garderai
de deux calamités : la hâte et l’indécision.

Rien qu’aujourd’hui, je ferai au moins
une chose que je n’ai pas envie de faire, et si j’étais offensé,
j’essaierai que personne ne le sache.

Rien qu’aujourd’hui, je croirai fermement,
même si les circonstances prouvent le contraire,
que la bonne providence de Dieu s’occupe de moi
comme si rien d’autre n’existait au monde.

Rien qu’aujourd’hui, je ne craindrai pas.
Et tout spécialement je n’aurai pas peur
d’apprécier ce qui est beau, et de croire en la bonté.

« Unis par les liens du mariage, portez désormais, comme gage de votre union, l’anneau qui les rappelle »

Anneau du marié …

Anneau de la mariée …

« Pierre, je promets de t’aimer,
De te respecter, de te protéger,
De vivre avec toi dans la vérité,
De te demeurer attachée dans les bons et les mauvais jours,
De te rester fidèle jusqu’à la Vie Eternelle.»

(La mariée n’a pas voulu, dans sa foi en la vie, lier sa promesse à la mort)

« Nicole, je promets de t’aimer,
De te respecter, de te protéger,
De vivre avec toi dans la vérité,
De te demeurer attaché dans les bons et les mauvais jours,
De te rester fidèle jusqu’à ce que la mort nous sépare»

Un engagement sérieux qui rend heureux

- « Nicole déclarez-vous devant Dieu et devant son Eglise que vous avez pris pour mari Pierre ici présent ? »
- « Oui »

- « Pierre déclarez-vous devant Dieu et devant son Eglise que vous avez pris pour femme Nicole ici présente ? »
- « Oui »

La « branche René et Paulette », les cousins et petits-cousins des mariés :
Au 1er rang Babette et Marc (fils de René et Paulette) ; au 2ème rang : Danie (fille de René et Paulette) ; au 3ème rang : Anne-Sophie et Matthieu (fils de Danie et Michel) et Clément (son frère).

Alain (ami de la mariée, père de Maïté et responsable du très beau fleurissement de l’Oratoire puis du River Palace)

L’assemblée est attentive (de gauche à droite):
Au 1er rang : Jean (frère aîné du marié), Denise (son épouse), Bernard (frère du marié) ;
Au 2ème rang : Horst et Erna (amis de la mariée venus tout exprès de Heidelberg), Jeanne-Marie et Michel (frère du marié) ;
Au 3ème rang : Emeline et ses parents, Agnès (nièce du marié et petite-cousine de la mariée) et Serge (son époux), Corentin, fils et frère des précédents ;
Au 4ème rang : Florence (nièce du marié et sœur de Agnès) et Jean-Philippe (son époux).

Au pied de la chaire, Florence Taubmann se concentre sur les propos de son collègue

Lectures : Matthieu 19 : 6
Galates 1 : 13 à 16

« Aspirez aux dons les meilleurs. Et de plus, je vais vous indiquer une voie infiniment supérieure.
Quand je parlerais en langues, celle des hommes et celles des anges, s’il me manque l’amour, je suis un métal qui résonne, une cymbale retentissante.
Quand j’aurais le don de prophétie, la connaissance de tous les mystères et de toute la science, quand j’aurais la foi la plus totale, celle qui transporte les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien.
Quand je distribuerais tous mes biens aux affamés, quand je livrerais mon corps aux flammes, s’il me manque l’amour, je n’y gagne rien.
L’amour prend patience, l’amour rend service, il ne jalouse pas, il ne plastronne pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de laid, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il n’entretient pas de rancune, il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il trouve sa joie dans la vérité.
Il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout.
L’amour ne disparaît jamais.
Les prophéties ? Elles seront abolies. Les langues ? Elles prendront fin. La connaissance ? Elle sera abolie. (I Corinthiens 12 : 31 ; 13 : 1 à 8.)»

Nicole et Pierre, Pierre et Nicole, Mes chers Filleuls,
Vous avez attendu longtemps pour parvenir enfin à ce jour de votre mariage et pour dorénavant suivre un même chemin. Votre désir, bien sûr, est que ce chemin soit le meilleur. Mais ce chemin de vie, supérieur à tous les autres possibles, existe-t-il ? Et bien oui ! Dans le texte même que vous avez choisi pour éclairer joyeusement et embellir ce jour de fête, Paul nous le confirme de toute son autorité d’apôtre. Ecoutons le nous dire : « Je vais maintenant vous montrer le chemin par excellence… si vous n’avez pas l’amour ». Autrement dit : ce chemin par excellence que vous conseille l’apôtre, ce chemin que vous désirez l’un pour l’autre, l’autre pour l’un, c’est le chemin de l’amour.
Mais avant d’aller plus loin sur ce chemin, posons-nous la question de savoir qui est donc cet admirable conseiller ? A-t-il toujours suivi ce chemin de l’amour ? A trente ans, n’avait-il pas décidé de suivre la tradition de ses pères ? Ne s’était-il pas élancé dans cette voie avec un zèle inouï, une foi énorme, capable de déplacer les montagnes et même d’aller jusqu’à la menace, la persécution et le meurtre. Il était sur cette route qui est celle du fanatisme religieux, la rage au cœur, quand vers Damas, tout a basculé pour lui. Aussi, maintenant, quand il nous conseille, ce qu’il estime être le meilleur des chemins, nous pouvons lui faire confiance. Il parle par expérience. Sans doute qu’il entend encore raisonner dans ses oreilles sinon dans son cœur, les paroles du Christ lui disant : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? » Paroles qui auraient pu être : « Pourquoi ne m’aimes-tu pas ? » Quand on n’a pas l’amour, on est capable de tout, jusqu’à donner sa vie et prendre celle des autres parce qu’on n’est rien, on ne vaut rien.
Mais voilà peut-être que, sans en avoir été parfaitement conscients, vous avez déjà mis un pied sur cette merveilleuse route dont nous parle l’apôtre. Au seuil de votre projet de mariage, quand vous avez eu la certitude que c’était possible, vous vous êtes sentis poussés à faire un geste. Comme on se procure une bonne carte routière avant de partir en voyage, d’un commun accord, vous avez fait l’acquisition d’une Bible. Un geste qui derrière sa banalité illustre magnifiquement notre propos et l’actualise. Avez-vous songé à Celui qui était là derrière vous vous suggérant cet acte heureux, joyeux, lumineux, émouvant et combien significatif. La Bible n’est-elle pas parole de Dieu et parole de l’amour ? Avoir le désir de posséder une Bible pour la lire à deux, qu’espérer de mieux pour les premiers pas sur le sentier lumineux de la vie ? C’est plus que les premiers pas d’un enfant, plus que ceux de l’homme marchant sur la lune. Plus que tous les autres chemins possibles. C’est le chemin !

« Quand je parlerais en langues, celles des hommes voire celles des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un gong qui résonne, un cymbale qui retentit. Quand bien même je saurais prédire, ayant la connaissance de tous les mystères, de toute la théologie avec de surcroît la foi, la grande, celle qui déplace les montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien ».
De nos jours, l’amour est roi. Quelle chanson ne parle pas de l’amour et le mariage s’offre peut-être à en être le lieu de sa plus belle expression. Mais quand on parle d’amour, de quoi parle-t-on ? Combien de fois hommes, familles, couples ont vibrés aux paroles de l’amour ? L’amour reçu, rêvé, avoué, confié, vécu, partagé. L’amour a été élevé aux plus hauts sommets des sentiments que peut éprouver l’humanité. N’a-t-on pas utilisé le texte de Saint Paul pour exprimer précisément ce que l’apôtre condamne ? N’a-t-on pas lu I Corinthiens 13 aux obsèques de la princesse Diana et le monde entier a partagé la tristesse de cette tragédie à travers les paroles de l’apôtre ? Il en a été là comme du : « J’ai fais un rêve… » du pasteur Martin Luther King que le monde a partagé et partage encore. Il faut donc savoir de quoi l’on parle lorsqu’on parle d’amour ! Si je puis dire « amour » est un mot fourre-tout. Aimer la confiture ou les vacances est bien différent d’aimer sa fiancée ou son mari. Aimer son chien ou sa voiture ou son métier est tout autre chose qu’aimer sa mère, ses enfants ou ses parents.
En écrivant aux chrétiens de Corinthe, Saint Paul emploie la langue grecque qui a plusieurs mots pour parler de l’amour. Il y en a quatre mais l’Evangile se contente de deux termes « éros » et « agapé ». Eros désigne la sexualité, l’amour du beau et des vertus. Agapé connaît l’idée de l’amour de Dieu pour l’homme et l’homme pour Dieu et pour son prochain. Aussi lorsque Saint Paul écrit : « Si je n’ai pas l’amour » de quoi parle-t-il ? de l’éros ou de l’agapé ?

« Quand je parlerais en langue », c'est-à-dire la glossolalie, la prédication, la théologie, la foi prodigieuse et l’enthousiasme généreux, « tout cela n’est rien ». La mystique, la gnose, les œuvres les plus spectaculaires sans l’amour, c’est zéro. Ne trouvez-vous pas que pour décrire le portrait idéal du chrétien, Paul, place la barre très haut ? Si l’on comprend bien, pour l’apôtre tout ce qui n’est pas l’amour est placé sous le double signe du partiel et du provisoire en attendant le but qui révèlera sa caducité et son infantilisme. Seul l’amour demeure. Et ! bien chers amis, chers filleuls, c’est tout simplement désespérant. Et l’on peut se poser la question : est-ce que l’amour est possible ?
Dans une de ses lettres, Jean écrit : « A ceci nous avons reconnu l’amour. Jésus a donné sa vie pour nous ». Pour l’Evangile, l’amour se reconnaît au fait qu’il est donné. Jésus a donné sa vie. C’est l’amour même de Dieu pour les hommes. En terme grecs, c’est l’agapé : ce qui ne veut pas dire pour autant que l’éros soit écarté, mais l’agapé inclus l’éros. Quand Paul dit que la foi, les œuvres ne sont rien sans l’amour, il ne rejette pas la foi et les œuvres, mais il les inclut dans l’amour, il les enrobe de l’amour. Paul oppose à un idéal de vie chrétienne, perverti par la manie de la performance, un amour réel, concret, simple, à la portée de tous ceux qui demandent à Dieu tout simplement de le leur donner, l’amour.
Aimer, c’est se livrer à l’autre sans défense. « L’amour bannit la crainte ». Aimer, c’est peut-être aller vers des déceptions, des trahisons, des tristesses. Sans l’amour, tout s’écroule. Aimer n’est pas un idéal qui ramène tout à soi mais bien au contraire, l’amour nous pousse à tout ramener à l’autre. Aimer, c’est faire passer l’autre avant soi dans les grandes causes comme dans le petits détails de la vie. Paul ne conseille-t-il pas aux maris d’aimer leurs femmes comme Christ a aimé l’Eglise et s’est donné pour elle. Donner, c’est l’agapé, c’est l’acte qui authentifie l’amour. S’il n’y a pas don, il n’y a pas d’amour. Et il faut ajouter, s’il n’y a pas rencontre, il n’y a pas non plus d’amour.
Dans sa lettre aux Corinthiens, Paul écrit : « Dans le Seigneur, l’homme ne vas pas sans la femme ni la femme sans l’homme » I Cor. XI : 11. L’être humain a besoin d’éprouver un manque affectif pour découvrir le besoin de l’infini. Si l’homme se prenait pour Dieu, il ne chercherait pas Dieu. L’amour lui permet de découvrir sa finitude et sa soif de plénitude. Aucun amour véritable n’est donné à l’homme s’il ne rencontre la relation qu’il attend, s’il ne rencontre la femme pour tout donner et se donner.
Aimez-vous pourrait se traduire par donnez-vous et donnez-vous à l’autre. Dans quelques instants, vous allez échanger des promesses. Vous allez dire Nicole, Pierre, je veux t’aimer en pensant que je me donne à toi sans aucune retenue. C’est facile à dire même en se tournant bien l’un vers l’autre et en se regardant bien dans les yeux. Mais est-ce que l’Eglise ne fait pas preuve d’une incroyable assurance, d’une incroyable audace en nous suggérant de pareilles paroles ?
Nous vivons dans un monde tout pétri de violences, d’égoïsmes, de concurrences, d’horreurs, de femmes délaissées, d’enfants écartelés entre des parents séparés. En fin d’analyse, dans la concrétude des choses,, ne devrait-on pas plutôt que de parler d’amour, dire ce que l’on m’a appris à l’école avec Monsieur de la Fontaine : « La loi du plus fort est toujours la meilleure ».
C’est vrai ; lorsque l’on aborde cet extraordinaire hymne à l’amour que Paul estime être le meilleur des chemins, on est ramené au ras des pâquerettes. On se trouve là comme Gavroche devant les belles vitrines un soir de Noël. C’est beau. C’est plus beau que tout le palmarès du monde. Y prétendre n’est-ce pas une folle exaltation, un souhait sans lendemain, voire un pieux mensonge ? Ne faut-il pas être honnête et arrêter de jouer aux grenouilles voulant imiter le bœuf ? Sans l’amour, même si je suis champion toutes catégories, je ne suis rien. Mais alors comment atteindre l’amour ?

L’Evangile va au fond des choses. L’amour n’est pas ce que nous pourrions acquérir par des efforts continus. L’amour est quelque chose que l’on découvre en soi. « Qu’as-tu que tu ne l’aies reçu ? » dit Saint Paul, ce que confirme par ailleurs l’Evangile : « Nous aimons parce Dieu nous a aimé le premier ». L’amour n’est pas une vertu mais un don. C’est Dieu qui est à l’origine de votre aventure humaine. Est-ce que Jésus en priant ne demande pas à Dieu « que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux » ? Ainsi donc dire « sans l’amour » équivaut dire sans Dieu. Dieu est amour. Sans Dieu nos pensées, nos paroles, fussent-elles celles de la meilleure liturgie, fussent-elles sincères et véritables, nos paroles ne sont que du vent, du bla-bla-bla. Comme l’a chanté Dalida « des paroles, des paroles, des paroles ». Le mariage chrétien ne peut être une passion, un raisonnement, une théologie. Certes, ce peut être tout cela mais inclus dans l’agapé, c'est-à-dire dans l’acte d’amour de Dieu. Cet acte premier que Dieu a répandu dans vos cœurs. Comme vous l’avez bien senti en vous procurant la Bible. Soyez zélés pour ce charisme de l’amour qui est le meilleur, Allez par cette voie que Dieu déroule devant vous. Celle de l’amour que Dieu vous a donné.
Allez !

Lecture de la Bible par le pasteur Albert Trubert

Le tout nouveau « chef de famille » aura la garde de la Bible familiale

La remise de la Bible, premier grand moment de la liturgie

La mariée est aussi choriste à l’Oratoire et… peut-être un jour Pierre l’accompagnera-t-il ???

Clément (fils de Danie et Michel, cousins des mariés), Babette (épouse de Marc et belle-sœur de Danie), Marc (époux de Babette et frère de Danie).

Les mariés avaient prêté grand soin au choix des chants de la cérémonie avec leur amie Marie-Louise, organiste titulaire de l’Oratoire.

Le chant d’assemblée, une grande tradition de la liturgie protestante sujet de prédilection de la mariée lorsqu’elle présidait l’association « Rimes et Accords, Connaissance de la Musique d’Inspiration Protestante »

Josiane, et Elodie, la mère et la sœur de Nelly.

Prière ...

René (et, derrière lui, Maïté)

Les témoins du marié, Adrien et Régis

Les témoins de la mariée, Nelly et Denis

Moments de recueillement et chants alternent, pour les mariés et l’assemblée dans une atmosphère de communion et de partage qui fut très appréciée …

Le pasteur Albert Trubert prend la suite pour célébrer la cérémonie de bénédiction de mariage de Nicole et Pierre

Accueil par Florence Taubmann, pasteur de la paroisse réformée de l’Oratoire du Louvre.

La princesse Nicole au rire joyeux rejoint le prince Pierre grands yeux noirs et au tendre sourire qui l’attend au pied de la chaire.
Sophie, fille de Régis le témoin du marié, met en place le voile.
La cérémonie peut commencer.

… et pour finir, selon la tradition, la mariée au bras de son oncle René, tous deux extrêmement émus par le « Largo » de Haendel qui avait accompagné autrefois l’entrée du mariage du roi Roger à la grosse voix et de la reine Mathilde à l’énergie bouillonnante, parents de la mariée , frère et belle-sœur de René.

… Adrien, témoin du marié, et Maïté, responsable du service d’honneur pour l’offrande…

… Nelly, témoin et demoiselle d’honneur de la mariée au bras de Sébastien, garçon d’honneur du marié …

Suivent Régis, témoin du marié (et Anne-Marie, son épouse), Denis, témoin de la mariée et Charlotte sa fiancée …

A l’orgue, Marie-Louise Girod-Parrot, l’organiste et Vincent Penchinat, le hauboïste, entament le célèbre « Largo » de Haendel : le cortège entre, dirigé par le couple du marié et de sa tante, en remplacement de feue sa mère …

Enfin, la voiture des mariés arrive et le prince Pierre aux grands yeux noirs et au tendre sourire aide galamment la princesse Nicole au rire joyeux à sortir du carrosse.

… René, oncle des deux époux, semble un peu tendu avant de jouer son rôle d’accompagnement de la mariée.

Si Albert, le Grand Sage de notre histoire reste serein…

Pendant ce temps, les officiels attendent les mariés sur le perron de l’Oratoire du Louvre : le pasteur Albert Trubert qui célébrera la bénédiction, Florence Taubmann, pasteur titulaire à l’oratoire et Marie-Louise Girod-Parrot, l’organiste (accompagnés de Denise, amie du hautboïste).

… et hop ! Ne perdons pas de temps !

Le romantisme n’est pas tout : il faut respecter le timing et se préparer pour la cérémonie religieuse …

… le baiser sur la Passerelle des Arts, romantisme absolu !

… deux amoureux entre mariage civil et bénédiction …

… la Passerelle des Arts, quoi de plus romantique ? …

… en route pour un deuxième cadre prestigieux tout proche …

Les photos officielles ne sont pas que des pauses …

Le bonheur jaillit de toutes parts : recevez-en quelques gouttes…

Les témoins, Régis, Nelly et Denis le confirment : ce n’est vraiment pas triste !
(Manque, hélas, Adrien qui n’avait pas relu le timing de la « Belle Equipe »…)

… non, vraiment pas triste !

… le mariage, ce n’est pas triste …

… heureux à s’en embrasser devant tous…

… heureux à vouloir transmettre à tous leur bonheur …

Princiers mais heureux …

Un cadre royal pour le prince Pierre aux grands yeux noirs et au tendre sourire et la princesse Nicole au rire joyeux

Avant de se rendre au temple de l’Oratoire pour la cérémonie religieuse, Valdo, le photographe, a emmené les mariés et les témoins dans la Cour Carrée du Louvre pour réaliser une série de « photos officielles ».
Geoffroy, Sophie, Sébastien, Anne-Marie, Régis, Pierre, Nicole, Nelly, Maurice, Denis et Charlotte (la fiancée de Denis) : vous les reconnaissez ?